pour éléa et pour Gabriel

L'entrainement des nouvelles recrues était de plus en plus prometteur. En effet, ces calamités et maladroits devenaient des soldats de la cause révolutionnaire. Les entrainements pouvaient s'intensifieret, dans quelques semaines, cette nouvelle fournée de révoltés serait prête à l'action.

Quelques semaines!!! C'était trop tard car Eliott était déjà entre les griffes de la reine. Gabriel ne savait que trop bien ce que cela représentait à ses yeux à elle. La prochaine étape après Gabriel était Eliott sauf que là elle parlait d'exécution. Eliott se ferait tranché la tête. Les gardes seront en paix lorsque Gabriel ,deuxième bonnet de la révolution, sera pendu après l'assassina td'Eliott. Ces recrues ne seraient pas prête à temps pour tenter quoique ce soit lorsqu'Eliott montera à la palce publique. Gabriel agirait seul. Il avait déjà un plan tout en sachant que son ami avait du déjà y réfléchir aussi.

Gabriel revenait d'un nouveau jour d'escrime pour les recrues. Il était fatigué et attristé par le sort de son ami. Il monta chez lui et posa sa veste... non... pour être dans le vrai, il jeta sa veste. Il était vêtu de noir comme à son habitude. Il avança vers la fenêtre et regarda le soleil se coucher. Il passa par la fenêtre pour s'allonger sur le toit. i lpoussa un long soupir. Après quelques instants où il avait dermé les yeux, la chaleur douce du soleil s'éloigna peu à peu. Gabriel se redressa pour rentrer et vit en bas, dans la campagne, un homme partir à cheval. Il n'y aurait rien eu de choquant à cela si l'homme n'était pas parti de la maison déserte où vivait Gabriel.

Cette maison ayant brûlée en partie, il y a quelques mois, personne n'y habitait. Seul Vif argent y trouvait une paix. Elle était isolée ce qui était apaisant. Gabriel y avait fait quelques travaux pour qu'elle soit plus ou moins habitable.

L'homme partit et Gabriel rentra afin de vérifier que ce n'était pas un traitre ou un envoyé de la reine. Il vérifia que ses armes étaient toujours là et que la demeure était déserte. Après l'arrestation d'Eliott, il vallait mieux être prudent. Personne n'était dans la amison. Gabriel remonta dans sa chambre et découvrit une lettre sur la table. Il était passé à côté sans y faire attention trop inquiet par le départ précipité de l'homme. Avant d'ouvrir la lettre, Gabriel se souvint de la tenue de l'homme.

Il était habillé en violent très foncé, presque noir, et avait un chapeau noir: un tricorne. C'était un messager. Tout était logique. Tous les messagers de la ville étiaent dans la révolte. Tous? Non! Les messagers de la petite noblesse et quelques uns des grands nobles seulement. Ce messager faisait pati de la révolté car personne ne savait où vivait Gabriel.

Sur la lettre, était dessiné un sceau en cire rouge. C'était des armoiries entourées d'une rose. Sur les armoiries, on voyait un dragon monté d'un mage archer.

"Les armoiries d'Hispania!"

Ce messager venait de son père. Ce n'était pas une personne de la révolte mais une personne qui était dans le secret. La reine n'en savait rien. La lettre n'était pas bon signe. Gabriel et son père ne partageaient pas les mêmes opinions sur la révolte mais son père tolérait que son fils se bat pour une cause. Malgré son caractère dur, il ne voulait pas dénoncer son fils. Cela jeterait le déshoneur sur sa famille, selon ce qu'il disait. Mais Gabriel savait qu'il jouait les durs pour ne pas montrer la tendress et l'amour qu'il avait pour son fils unique. Gabriel en était touché.

Il savait que la lettre n'était pas bon signe. Il n'avait pas couper les ponts avec son père mais il ne se parlaient que très rarement. Gabriel ouvrit fibrilement la lettre inquétante.

A Monseigneur Gabriel de la Rocheclaire, duc d'Hispania

Cette nuit, à 22H 43, monsieur Vincent de la Rocheclaire, duc d'Hispania, a rendu son dernier soupir. Dans ces derniers instants, il a exprimé , devant témoins, le désir de donner tous ses biens matériaux et titres à son fils unique: Gabriel. Il a demandéle pardon au seigneur pour son âme et a prier pour le salut de son enfant.
Rendez-vous, au petit matin, dans 2 jours, au duché d'Hispania pour accompagner le Duc dans son dernier voyage.

Maître de la Boquetel

Gabriel laissa la lettre lui tomber des mains. Cette journée allait s'achever comme elle avait commencé: dans la souffrance. Il se laissa tomber sur son lit. La douleur lui déchirait le coeur. Il n'avait plus rien, plus de parents, plus de famille. Il était seul. Il se sentit peu à peu envahit d'un vide lourd et étouffant. Des larmes coulèrent sur son visage.

Il alla à la fenêtre et hurlasa détresse. Sa maion étant isolée, il pouvait se lâcher. Il partit dans l'autre sens et alla vomir. Son estomac n'en pouvait plus. Dans un mouvement de colère mêlé à la tristesse, il vit s'envoler beaucoup de meuble. Il prit une feuille et une plume. Il trempa sa plume dans l'encre et écrit avec une telle violence qu'il éclaboussa partout. Sa main, dégoulinente d'encre, commença à faire glisser la plume sur le papier telle une patineuse sur la glace:

Eléa,

Je dois partir de toute urgence pour Hispania. Mon père vient de décédé. Je dois prendre ses responsabilités. Je reviendrais dans quelques jours. Ne lance pas d'offensives sans moi! Nous avons deux jours pour sortir Eliott de là. Il ne me reste que lui. Retrouvons nous devant la caserne à minuit.

Gabriel

Gabriel plia le message et le ferma d'un sceau de cire rouge frappé du sceau d'Hispania: un dragon monté d'un mage archer. Il descendit et alla chercher son cheval noir: Un étalon pur sang. Il galoppa vers Kinian. Il s'arrêta devant le nid douillé d'Eliott et d'éléa et déposa la papier. Il reprit la route vers la caserne pour y attendre éléa.

» Isolement pour se calmer. [m'aime me suive]