Isolement pour se calmer. [m'aime me suive]

Après tout ce qui s'était passé cette nuit, Gabriel avait besoin de se retrouver seul. Si il était retourner à la fête, il aurait cherché la moindre occasion pour se battre.

Il était à bout de nerfs. Il cherchait le repos en retournant sur la tombe d'Elenwë. Il y déposa un bouquet de 12 roses rouges et blanches. Il se mit à genoux devant l'arbre. Il y allait souvent en ce moment mais dès qu'une femme le touchait un peu trop dans son coeur, il avait besoin de faire pénitence devant la tombe.

Eliott lui avait mainte et mainte fois dit que ça le torturait plus que ne le soulagait. Gabriel en était conscient mais n'y pouvait rien. Il ne pouvait résister à cet appel.

D'abord Emilie, à qui avait vu une partie de son coeur, puis Luana qui l'avait tellement énervé à souvrir sa grande gueule sans savoir. Gabriel était à bout de souffle. Il était perdu . Il ne savait plus où il allait, ce qu'il faisait. Il doutait de l'utilité de tout. Il avait envie d'en finir mais ne voulait pas renoncer à tout avant la libération du peuple face à cette reine froide comme la glace.

Gabriel hurla de toutes ses forces. Il n'en pouvait plus. [mon personnage va vous paraitre dépressif à la longue. Vais le faire faire la teuf à côté lol !!] Depuis la mort d'Elenwë, rien n'allait comme il faut. Eliott le soutenait tout le temps mais maintenant Eliott était amoureux et il ne pouvait pas l'emmeler dans sa tristesse.

Eliott avait le droit au bonheur que Gabriel avait connu autrefois. La vie était tellement fragile que Gabriel souhaitait tout son bonheur pour Eliott et éléa. Ses deux meilleurs amis étaient fait l'un pour l'autre. Ils ont eu du mal à le reconnaitre mais ils ont réussis. Gabriel portait un masque devant eux en montrant un homme fort et joyeux de vivre.

Son coeur le trahissait. Il était malheureux mais pour les autres il se montrait fort et puissant comme un chef de révolution.

Il se retrouvait donc là devant la tombe d'Elenwë pour la troisième fois de la journée. Il installa avec précotion des roses rouges et blanches. A genoux devant sa bien-aimée, des larmes se mirent àcoulées sur ses joues. Il avait beau essayer de les retenir. Rien à faire. Elles voulaient être libérés de ses yeux pleins de chagrins.

Gabriel se sentait différent et refusait de se l'admettre. Il avait changé avec les derniers évènements: la mort d'Elenwë, la prison, les missions ratées. Tout pour être heureux quoi! Il était épuisait et se mit à chanter pour sa belle.

Je suis le même que t'as connu
Celui-là même qui t'a émue
Je suis le même que t'as voulu
Qui malgré lui t'aura déçue
Je suis le même que t'as aimé

Rien de meilleur mais rien de pire
Et le même coeur quoi que tu puisses en dire
Plein de tendresse, de maladresse
Je suis le même pour toi

Je suis le même que t'as connu
Qui aujourd'hui avoue se sentir perdu
Je suis le même que t'as voulu
Purgeant sa peine comme un pauvre gars perdu

Je suis le même que t'as aimé
Qui te jure qu'il n'a pas changé
Je suis le même que t'as aimé
Je suis le même que t'as connu

C'est bien celui en qui t'as cru
Je suis le même que t'as voulu
Tu es pour lui le seul salut
Je suis le même que t'as aimé

Rien de meilleur mais rien de pire
Et le même coeur quoi que tu puisses en dire
Plein de tendresse, de maladresse
Je suis le même pour toi

Je suis le même que t'as connu
Qui aujourd'hui avoue se sentir perdu
Je suis le même que t'as voulu
Purgeant sa peine comme un pauvre gars perdu

Je suis le même que t'as aimé
Qui te jure qu'il n'a pas changé
Je suis le même que t'as aimé
Je suis le même que t'as connu

Qui aujourd'hui avoue se sentir perdu
Je suis le même que t'as voulu
Qui avait mis et dépose son arme à nu
Je suis le même que t'as aimé
Qui te jure qu'il n'a pas changé

Je suis le même que t'as
Je suis le même que t'as
Je suis le même que t'as aimé

La dernière phrase était difficile à dire. Ils s'étaient aimés voilà le résumé de leur histoire. Sa belle Elenwë aux yeux de feu avait rejoind les anges dont elle était issue. Gabriel devait s'y résoudre et avancer maintenant.

Il sécha ses larmes et se remit debout. Il envoya un dernier baiser envers la tombe de sa bien-aimée et alla marcher dans les campagnes pour souffler un peu. L'air frais et la douce bise d'hiver lui caressait le visage. Personne en vue. Il était seul.

Il se permis donc le droit de chanter le plus fort qu'il pouvait. C'est ainsi qu'il réfléchissait au prochaine offensive.

"Si je n't'avais connu
Si je n't'avais pas aimer
Je n'aurais aucune idée
Du prix qu'avait la vie

Si je n'avais l'amour
Que tu m'apporte chaque jour
Je serais aveugle et sourd
Je n'aurais rien compris

Dans ce monde rempli de guerres
De haine et de drames
Je peux voir soudain plus clair
Dans ton âme, sèche tes larmes

Cet amour inattendu
Je voulais qu'il continue
Je serais perdu
Si je n't'avais pas connu

Je trouve notre amour si beau et fort
Donnons au monde un peu d'espoir
Je n'aurai jamais cru que la haine et la mort
Nous laisserai seuls et perdus dans le noir

Mais jamais je ne renierais notre histoire
Car si je n't'avais
Je n'ai plus aucun repère
Si je n't'avais pas aimer
Depuis qu'on s'est rencontrer
Je n'aurais aucune idée
Du prix qu'avait la vie
Si la vie doit s'arrêter
J'aurais au moins aimer.

Cet amour inattendu
Est-ce qu'il n'existera plus
Seul dans l'univers
Privé de lumière
Seul pour la vie
si je n't'avais connu."

Gbriel s'allongea face à la lune les mains sous la tête. Il regara les étoiles. Il était en pleine réflexion!!

[j'espère que je gène pas mais je m'incruste ! Isolement pour se calmer. [m'aime me suive] 266325

]

Eulalie marchait, les pieds meurtries par les aller et retour qu’elle venait d’effectuer. Un grand dilemme s’imposait en elle : repasser chez elle pour voir sa famille mais en même temps cela n’allait sans doute qu’empirer les choses entre elle et ses parents ou bien laisser les choses telle qu’elles étaient et oublier tout le passé qu’elle avait eu pour se construire une nouvelle vie.
Elle n’avait pas grand-chose à dire à ses parents mais l’habitude de sa petite campagne l’avait mené jusqu’ici : dans les herbes d’un champ non loin de chez elle.

« S'il y a un prix pour manque de jugement
Je crois que j'ai le ticket gagnant !
Nul personne ne vaut de souffrir autant,
C'est de l'histoire ancienne,
J’oublie, j'enchaîne ! »

Eulalie soupira de tristesse. Pourtant elle savait qu’elle n’était surement pas la plus malheureuse et c’est ce qu’il l’a déprimait encore plus.

« Suis-je vraiment la seul à me tourmenter sur ma vie alors qu’elle n’a rien de si misérable ou affreuse ?

Pourquoi nier c’est dément
Le tourment de se que je ressens
Remballons mes sentiments
Quand je mens c’est passionnément

Je veux oublier et c’est normal
Mes souvenirs s’emballent
Et ca me fait vraiment mal … »

C’est alors qu’Eulalie aperçut un arbre, non loin d’elle. Ses pieds commençaient à la faire souffrir et elle se dit que se reposé quelque instant lui ferait le plus grand bien.
En se rapprochant, elle remarqua une ombre assis au pied de l’arbre, la tête regardant les étoiles.

Furtive, elle se glissa parmi les ombres, cherchant à cacher sa présence bien quand elle-même elle n’était pas très doué pour le camouflage. D’ailleurs elle comprit immédiatement son incapacité à être discrète lorsqu’elle marcha sur une branche morte en produisant un craquement … bruyant.

Elle sortie de sa "cachette" en face à face avec l’inconnue assis sous l’arbre. Au plus profond d’elle-même, elle espérait qu’il était en train de dormir, mais son souhait ne fut pas exaucé car il la fixait .

« Euh… Excusez-moi, mais je vous ai vu et je me demandais si vous alliez bien et … je suis désolée de vous dérangez. »
Elle lui adressa un sourire gêné qui ne se voyait sans doute pas dans cette sombre nuit. Elle essaya de détaillé son visage mais il se trouvait a contre jour par rapport à l'éclairage de la lune, ce qui donna surement aà Eulalie une drôle de tête car l'inconnu lui parut encore plus intrigé. Elle baissa aussitôt les yeux, de peur qu’il remarque qu’elle mentait. Elle n’avait pas cherché à savoir si cette personne allait ou non bien, elle avait juste laissé sa curiosité le pousser vers cet inconnu.

« Je… je vais vous laissez. Mais je voulais juste vous demandez… »

Elle n’arrivait pas à aligner une phrase, elle était vraiment gêné au plus haut point. Ses joues étaient sans doute totalement cramoisies. Eulalie recommença à fixer ses chaussures. Elle prit une inspiration et continua.
« Je voulais vous demandez pourquoi vous restiez là seul dans le noir alors que vous devez surement avoir des amis de bonnes compagnie… je suis désolée je me mêle de se qui ne me regarde pas. Au revoir !

Elle se retourna vivement encore plus rouge qu’une tomate, tellement gêné d’avoir laissez sa curiosité l’envaillir.

[si ça ne te dérange pas de rallonger un peu ce que tu post car moi j'ai envie que pour une fois ça soit les autres qui vienne à mon encontre et pas l'inverse lol!! je suis chiant je sais lol!!!]

[J'ai rajouté plusieurs lignes j'espère que cela te convien !! ^^]

[merci]

Gabriel s'arrêta et vit alors une jeune femme s'approchait. Il portait un masque et c'est pour cela que la jeune fille ne pouvait pas bien le voir. Elle était étrange car elle voulait savoir comment il allait. Il ne se connaissait pas pourtant cette jeune fille s'intérssait à lui.

Vif argent avait déjà charmé beaucoup de fille mais n'avait pas l'impression que c'était cela qui animé le coeur de la jeune fille. Du moin c'est ce qu'il ressentait.

"Oui je vais bien. J'ai désiré m'isoler pour respirer. Que faites-vous mademoiselle aussi éloigné de la ville?"

Gabriel regarda la jeune fille avec l'air un peu perplexe. Il était perdu et ne savait pas comment réagir face à la jeune fille.

"Oui je vais bien. J'ai désiré m'isoler pour respirer. Que faites-vous mademoiselle aussi éloigné de la ville?"

Eulalie était sur le point de partir mais il lui avait répondu et l'avait questionné en même temps. Elle ne s'y attendait pas et elle en oublia même sa gêne. Cependant la perspective de répondre à la question d’un étranger lui paraissait étrangement bizarre, elle avait remarqué que l’inconnu avait un peu esquivé la question et n’avait pas parlé franchement, en même temps qui l’aurait fait ? S’isoler pour respirer ? Cela lui arrivait souvent à elle aussi.

« Je vous comprends moi aussi, il m’arrive de faire une pause. Surtout lorsque quelque chose me tracasse ou m’a contrarié. Quand au fait de me trouver là,… c’est disons un concours de circonstance et de rêverie qui ma mené ici. »

Elle mentait toujours un peu, la rêverie elle n’en avait pas éprouvé tout le long du chemin qu’elle avait parcouru, s’était plutôt ses soucis qui l’avait assaillie. Eulalie se rappela soudainement la raison de son envie de se reposer contre l’arbre : ses pieds. Elle portait toujours la paire de chaussures grossières de son père qu’elle avait pris avant de quitter sa maison et sa famille. Constatant les meurtrissures à ses pieds, elle hésita à retirer ses chaussures mais la douleur lui avait fait oublier l’inconnu.

Elle se rappela soudain de lui, et retourna son regard plein de curiosité vers cet homme. Surement un homme car elle le sentait dans sa voix. Un masque ! Voilà pourquoi elle ne distinguait pas son visage. Eulalie trouvait d’ailleurs son masque amusant, il faut dire qu’elle n’avait jamais vu beaucoup d’hommes porter un masque. De nouveau assaillie par sa curiosité, elle oublia totalement la gêne qui l’assaillait de temps à autre.

« Un masque ? Pourquoi portez vous un masque ? Je vous assaille de questions et ce n’est pas très agréable je pense, mais cette histoire de masque me chiffonne, alors je … »

Dès qu’elle relevait les yeux sur le visage de l’homme au masque tout en posant une de ses habituelles questions pleines de curiosité, elle recommençait à se sentir gênée. L’homme la rendait mal à l’aise.

« En fait je ne croise pas souvent de personne qui porte un masque, voyez-vous ? Et donc je me disais qu' à part pour cacher son identité, on n’a pas vraiment de raison de porter … un masque. Non ? »

Eulalie commençait à se demander pourquoi elle n’arrêtait pas de se justifier. Bon c’était une question indiscrète certes, mais pourquoi se justifier ?

Un silence s’installa ; Eulalie recommença a fixer ses pieds [c’est une habitude hein !] .

Gabriel regarda la jeune fille qui semblait gênée. Cela l'amusait dans un sens, elle était charmante, un peu infantine. Il prenait son parti. Il souriait mais derrière son loup la jeune fille ne voyait que son sourire séduisant.

Un concours de circonstance? une rêverie? La jeune fille était amusante. La tête dans les étoiles. Gabriel ne connaissait que trop bien jusqu'où la rêverie pouvait nous mener. Pour lui c'était au bout de sa passion et de ses ambitions.

La jeune fille retira ses chaussures puis releva la tête vers Gabriel. On voyait qu'elle tentait toujours de définir son visage. Un rayon de lune le révéla. un masque noir dans la nuit clair. c'était impressionant.

« Un masque ? Pourquoi portez vous un masque ? Je vous assaille de question et ce n’est pas très disons agréable je pense mais cette histoire de masque ma chiffonne alors je … »

La jeune fille faisait rire Gabriel par ses hésitations et son empressement à parler et même à se justifier. Elle avait un certain charme ainsi. abriel s'apprêta à répondre mais la femme s'empressa de justifier sa question.

« En fait je ne croise pas souvent de personne qui porte un masque voyez-vous ? Et donc je me disais que à part pour cacher son identité, on n’a pas vraiment de raison de porter … un masque. Non ? »

Gabriel sourit aux propos embrouillés de la jeune fille. Le masque l'intimidé donc tant? Pourtant i ln'y avait rien d'impressionant. Il n'était qu'un homme qui cacahit son identité.

"Oui je porte un masque. C'est le clair de lune me révélant qui vous le fait remarquer ?"

Gabriel sourit à sa remarque. Il reprit de sa voix calme et apaisante.

"Je porte bien mon masque pour cacher mon identité. Je ne fais pas parti des personnes recommandables. Il vaut mieux que je cache mon visage. Vous me semblez bien curieuse. Puis-je savoir quel est votre prénom?"

Gabriel sourit encore et s'asseya prêt de l'arbre et de la jeune fille.

[Hé copiteuse de masque XD désolée pour cette brève interruption ^^]

Eulalie remarqua que l’homme au masque souriait. Il devait trouver amusant l’embarras de la jeune fille, ce qui ne l’aidait pas tellement. On disait d’elle petite qu’elle était née dans une tomate, car elle rougissait souvent. C’est dans ce genre de cas que l’on comprenait la rumeur.

"Je porte bien mon masque pour cacher mon identité. Je ne fais pas parti des personnes recommandables. Il vaut mieux que je cache mon visage. Vous me semblez bien curieuse. Puis-je savoir quel est votre prénom?"

La remarque de l’inconnu la troubla. Curieuse, elle ? Ca c’était certain. Son prénom ; elle hésitait à donner son prénom. Elle hésitait toujours sur tout comme peu sûre de l’influence que les choix qu’elle faisait allait avoir sur sa vie. Il n’avait pas l’air de lui vouloir grand mal, même s’il se désignait comme une personne peu recommandable.

«Vous n’êtes pas une personne recommandable ? Mais qui l’est de nos jours ? Seigneurs, paysans, artisans et même le roi, pour moi, une personne est recommandable que lorsqu’on peut lui faire confiance ce qui n’est pas le cas de tout le monde. »

Elle marqua un court silence.

« Et … je vous accorde que je suis extrêmement curieuse, ce qui m’attire parfois des ennuis, mais qui n’a pas d’ennuis ? Vous même n’avez-vous jamais été trop curieux ? »

Eulalie n’avait toujours pas dit son prénom, elle préférait observer la réaction de l’inconnu. Cependant elle en avait marre de ne pouvoir appeler quelqu’un que par vous, sa curiosité l’obligeait à vouloir en savoir plus.

« Je m’appelle Eulalie… Et puis-je connaître votre prénom ou, si cela vous arrange plus pour cacher aussi votre identité, un surnom ? »

Eulalie ne ressentait plus la timidité qu’elle avait éprouvée dans les premiers instants ; elle avait gagné un peu d’assurance mais juste un peu. Le temps qu’elle adresse un sourire à l’homme au masque et elle avait de nouveau baissé les yeux sur ses pieds. Elle ne les regarda que quelques instants car elle décida de contempler un peu les étoiles qui silencieuses et sublimes éclairaient la nuit. Elle demeura pensive un moment.

« Pour une fois, je contemple les étoiles ; ca ne m’arrive pas souvent de remarquer qu’elles sont si belles… Quand on marche quelque part, on pense plutôt à regarder le sol ou droit devant soi, mais le ciel on ne pense pas à l’observer. C’est dommage je trouve. »

Elle commençait à parler de plus en plus librement sans prendre conscience qu’elle parlait avec un étranger. Elle sourit au ciel ; l’un de ses plus beaux sourires, celui de quelqu'un d’heureux. Elle pensait à une phrase très réfléchie qu’une personne lui avait dit un jour.

« Les yeux, le sourire et le rire sont le miroir de l’âme. »

Elle murmura ces mots pour elle-même, la laissant encore plus rêveuse.

Gabriel trouva amusante et bien réparti la réponse la jeune fille. Elle avit raison: de nos jours, personnes n'étaient recommandables. Et la personne la plus aisée était certainement la moins recommadable.

Le sujet de la curiosité semblait amusé de vérité la jeune fille. Cela lui avait causer beaucoup de traqua et d'ennuis. Gabriel avait vécu cela durant son enfance. La curiosité est un bien vilain défaut lui avait-on dit. Mais il s'en moquait. De plus, il était lui même une source de curiosité car il portait un masque, avait un nom mystérieux et de par nature il était mystérieux. Tous ce qu'i lfallait pour attirer la curiosité des gens. Il comprenait bien la jeune fille.

Elle ne lui avait toujours pas répondu et Gabriel sentait que c'était par réserve. Cela amusait beaucoup notre chevalier masqué.

« Je m’appelle Eulalie… Et puis-je connaître votre prénom ou, si cela vous arrange plus pour cacher aussi votre identité, un surnom ? »

Eulalie? Joli prénom! Il paraissait d'ailleurs. La jeune fille inversa les rôles entre le questionneur et le questionné. Gabriel souria. Elle lui demanda son prénom mais toujours par sécurité Gabriel évitait de donner son vrai nom. Il ne voulait pas jeter le discrédit sur sa famille.

"Voyez jusqu'où vous pousse votre curiosité, ma belle Eulalie, c'est cela? Mon prénom fait partie de mon identité qui restera caché entr nous deux. Mon surnom? Il doit vous être connu. Je suis Vif argent!"

Voilà qui aurait fait tréssaillir plus d'un noble. Le nom de Vif argent terrorisait certains nobles qui savaient que ce dernier les détroussait pour les éffrayer. Gabriel continua de regarder la jeune fille à travers son masque obscur.

Eulalie semblait gagné en assurance. Elle semblait être une timide des rencontre mais après devenir de plus en plus à l'aise. Après un moment de silence, elle fuya le regard de Gabriel et leva les yeux au ciel. Elle commenta le ciel.

Vif argent leva également les yeux et reprit.

"J'aime beaucoup les regarder. Quand je suis seul chez moi, je peux passer la nuit entière à les regarder. D'où venez-vous pour ne pas avoir le temps de les regarder?"

Gabriel appréciait la bise fraîche qui s'était levé. Pour la sentir mieux et sans faire attention à Eulalie, il retira son masque. Après tout, le danger ne changait pas car la reine avait déjà vu son visage. D'accord avec des équimoses mais elle l'avait vu quand même. Pas sûr qu'elle l'aurait reconnu si elle l'avait vu maintenant car son visage avait retrouver une allure plus descentante et moins quasimodo.

C'était doux forçant les yeux à rester ouvert. Eulalie avait raison: Les yeux étaient les fenêtres de l'âme. Mais pour Gabriel ni le sourire, ni le rire ne dévoilaient son coeur. Gabriel perdit son sourire.

"J'ai peur de ne pas être d'accord avec voux. Certes, les yeux sont les fenêtres de l'âme mais le sourire et le rire peuvent être faux. Regardez tous ces gens de la Cour qui sourient sur demande et rire en se cachant. "

Gabriel n'avait pas lâcher les étoiles des yeux. Les astres de splendeur se réveillaient pour embellir la nuit hivernale de Kinian.

[j'ai modifier des trucs exprès pour éviter que l'on m'accuse de plagiat chose que je déteste comme toute personne d'un milieu artistique.]

Vif d’argent, tel était son surnom. Cela lui fit penser à une étoila filante, mais il y avait sans doute une autre signification derrière cette appellation. Il s’était, lui aussi, mis à regarder le ciel. Un ciel toujours changeant jamais totalement parfait comme les hommes d’ailleurs.

Il lui avait alors demandé d’où elle venait. Eulalie venait… d’un endroit comme celui-ci. Elle eût quelques pensées nostalgiques pour sa famille. Non. Elle devait oublier et recommencer tout recommencer à zéro même si pour certain cela ressemblait à un caprice. Elle ne s’était jamais sentie vraiment comme dans une famille. Eulalie oublierait, elle se l’était promis.

"J'ai peur de ne pas être d'accord avec vous. Certes, les yeux sont les fenêtres de l'âme mais le sourire et le rire peuvent être faux. Regardez tous ces gens de la Cour qui sourient sur demande et rire en se cachant. "

Vif d’argent avait raison, beaucoup de personnes, et pas que ceux de la Cour, utilisaient un masque et un sourire faux. Peut être avait-il déjà expérimenté la question ? Peut être l’avait-il vécu ? Peut être les deux ? Encore de nombreuses questions auquel Eulalie ne pouvait répondre.

« Vous avez raison, mais certaines personnes arrivent à voir les faux-semblant. Peut-être en connaissez vous dans vos proches ? Souvent ces personnes affichent aussi un sourire faux eux aussi pour cacher leur problème. Les faux-semblants se remarquent parfois, mais on les ignore car on ne veut pas sans préoccuper. Ou bien… ils sont si bien cachés qu’ils sont invisibles.
Cependant ce sont souvent les yeux qui trahissent le plus. Un masque est pratique pour caché se qu’on ressent aussi bien matériel que façonner avec un visage. »

Elle n’avait pas fait vraiment attention à ses propos, mais elle se rendit compte qu’elle avait fait la une allusion sur ce qu’elle pensait d’un masque et en particulier celui que prenait Vif d’argent pour camoufler sa véritable nature. Elle lui jeta un regard pour s’assurer qu’il n’avait pas entendu son sous-entendu.

Il n’avait plus son masque. Ce masque qui devait sûrement avoir une grande importance. Vif d’argent l’avait-il enlevé car il lui faisait confiance ? Encore une question sans réponse. Eulalie tenta de détailler son visage, mais elle avait bien du mal, la nuit était quand même sombre. Il n’avait plus le sourire qu’il affichait auparavant.

« Vous allez bien ? Je vois que vous semblez contrarié. Je m’excuse si c’est à cause de ma remarque, c’est que… »

Elle le faisait toujours, elle ne s’arrêtait donc jamais de se justifier. Eulalie se tapa le front de sa paume comme chaque fois qu’elle remarquait son tic. Elle poussa ensuite un soupire dans le genre : on n’y peut rien, hein ?

Elle se recroquevilla contre l’arbre pour se frotter les pieds qui lui faisait toujours un peu mal. Cela lui permettait en même temps de ne pas avoir à regarder Vif d’argent qui sans son masque la rendait plus mal-à-l’aise. Elle s’était habituée au masque, mais maintenant c’était de nouveau différent.

Elle grommela quelque mos à ses chaussures qui était trop grande. Ses chaussures…enfin, c’était plutôt celle de son père. D’ailleurs elle n’avait pas répondu a Vif d’argent quand il lui avait demandé où elle venait. En même temps, c’était justement pour ça qu’elle n’avait pas répondu.

Eulalie releva son regard vers les étoiles, presque toujours les mêmes elles.

« Je viens, d’un endroit… où je ne me sentait pas chez moi. C’était un petit coin un peu comme ici…aux alentours de Kinian. Toujours la même chose, pauvreté, la faim par certaine saison… la vie quoi. »

Des paroles tirées du plus profond de ce qu’elle pensait. Eulalie sourit, mais pas de son plus beau sourire.
Un sourire imprégné de nostalgie et de tristesse. Elle sentait les larmes lui monter aux yeux. Pourquoi d’ailleurs ? Elle y repensait, la souffrance de ses journées ; c’est horrible moments qui pourtant elle le savait n’était surement pas les plus à plaindre.

La jeune fille avait de bons arguements. Gabriel se sentait à l'aise pour parler avec elle. Il retira son masque.

« Vous avez raison, mais certaines personnes arrivent à voir les faux-semblant. Peut-être en connaissez vous dans vos proches ? Souvent ces personnes affichent aussi un sourire faux eux aussi pour cacher leur problème. Les faux-semblants se remarquent parfois, mais on les ignore car on ne veut pas sans préoccuper. Ou bien… ils sont si bien cachés qu’ils sont invisibles.
Cependant ce sont souvent les yeux qui trahissent le plus. Un masque est pratique pour caché se qu’on ressent aussi bien matériel que façonner avec un visage. »

Un masque qui cachait les émotions? Cela était bien vrai car son masque il n'avait plus besoin de se cacher vu que la reine avait vu son visage. Son masque l'aidait à ne pas montrer ses émotions mais la jeune fille avait du remarquer que ses yeux le trahissait. Il ne voyait plus l'utilité de mettre son masque.

L'absence de masque remit la jeune filel mal à l'aise et vif argent ne voulait pas en être responsable.

"Vous avez raison: la cause de ce geste est bien votre remarque. Je me rend compte que ce masque ne me sert à rien."

Gabriel remarqua qu'Eulalie était mal à l'aise. Il se rapprocha d'elle par le froid lui posa sa veste sur les épaules. Il espérait qu'ainsi elle serait apaiser par sa présence. Enfin elle lui répondait.

« Je viens, d’un endroit… où je ne me sentait pas chez moi. C’était un petit coin un peu comme ici…aux alentours de Kinian. Toujours la même chose, pauvreté, la faim par certaine saison… la vie quoi. »

Gabriel comprenait que cette femme n'avait pas eu la vie facile. Elle semblait triste et avait besoin de réconfort. Gabriel se releva et la regarda. Une petite chose recroquevillée sur elle même et tellement triste. Il était dans la révolte pour aider les gens qui comme elle n'allait pas bien à cause de la pauvreté. Il voulait l'aider.

"Avez-vous un endroit où dormir cette nuit? Je vous offre le logis si vous...si TU acceptes?"

Il lui tendit la main. Bien sûr, il étiat encore un étranger pour elle mais peut-être que durant la soirée, ils auraient pu faire plus ample connaissance. Vif argent ressentait le besoin d'aider cette jeune personne d'abord parce qu'elle était triste et pauvre et ensuite parce qu'elle semblait seule.

Eulalie ravala ses larmes, elle n’avait pas le temps de se lamenter et elle ne voulait pas qu’on se lamente sur elle. Oh ça non ! Elle aurait même préféré apprendre à se battre que de rester là sans pouvoir changer quoi que ce soit et ce reposant toujours sur les autres.

Le temps devint un peu plus froid. Elle se blotti sur elle-même, ramenant la veste que Vif d’argent avait posé sur ses épaules pour ne plus sentir la fraicheur de la nuit. Elle s’était alors sentie apaisé, ne craignant plus sa présence. Elle avait senti qu’il s’était levé. Levant les yeux sur Vif d’argent pour en connaître la raison, elle remarqua qu' il la regardait d’un air désoler.

"Avez-vous un endroit où dormir cette nuit? Je vous offre le logis si vous...si TU acceptes?"

Elle fut surprise par sa question. Il s’inquiétait vraiment pour elle ou bien éprouvait-il de la pitié ? Il lui avait alors tendu la main, lui un étranger. Eulalie se demanda s’ils finiraient par devenir amis. Bon peut-être pas jusque là quand même, mais tout de même il deviendrait sans doute plus proche qu’au stade inconnu.

Eulalie se rappela alors la jeune femme sur le port, cette dénommée Emilie, qui lui avait proposé de rester dans sa maison. Mais elle l’avait mis en garde contre des esprits, sans doute des racontars.

« Je suis désolée mais on m’a déjà proposé un hébergement. Chez une certain Emilie Cullen je crois… Seulement je ne sais pas trop où je suis maintenant pour pouvoir y aller. »

Elle prit quand même la main de Vif d’argent pour pouvoir se relever même si cela n’était pas le premier but de celui-ci tout en lui adressant un sourire.

« Mais merci. Je n’aurai jamais pensé à rencontrer des gens aussi sympathiques dans un coin comme celui-ci.

Chez moi les forêts se balance
Et les toits seul sous le ciel
Les eaux des pluies nous font violence
Et les froids sont éternels

Chez moi les loups sont à nos portes
Et tous les enfants les comprennent
On entend les cris des oiseaux
Et le vent dans les plaines.

Qu’importe j’irais ou bon me semble
J’ai des envies et des espoirs
Tous les paysages sont des rêves
Pour notre regard. »

[Chanson un peu modifier je vous l’accorde ^^]

Elle avait chanté de sa voix la plus clair ; une voix posé et calme.
Elle s’épousseta un peu, chassant les brindilles coincée dans les plis de ses vêtements. Vif d’argent lui semblait plonger dans ses pensées. Elle rejeta un coup d’œil aux étoiles plus brillantes que la lune, laissant un petit silence s’installer entre Vif d’ragent et elle.

« Savez-vous… euh non. Sais-tu quel chemin je dois prendre pour rejoindre Kinian ?
A la, c’est que je m’y perds, moi avec toutes ses broussailles. »

Elle recommença à sourire. Un sourire qui se voulait chaleureux.

La réponse de la jeune femme surpris à moitié Gabriel. En effet, il ignorait qu'elle avait rencontrée Emilie mais il connaissait la générosité de cette dernière. Il sourit. Si c'était pour dormir chez Emilie, cela ramenait au même elle serait en sécurité. Il aida Eulalie à se reveler. Puis tombant nez à nez, il lui:

"Je connais Emilie Cullen et tu seras en sécurité. Je te mènerais chez elle. En quoi puis-je t'aider alors?"

Remettant bien sa veste sur les épaules d'Eulalie, il lui proposa de la reconduire. Emilie était vraiment une femme généreuse qui était à tendre la main à tout le monde.

Eulalie chanta et ceci charma Gabriel comme un cobra devant une flûte berçante. Elle avait une très belle voix. Ce qu'elle chantait été à la fois beau et touchant.

« Savez-vous… euh non. Sais-tu quel chemin je dois prendre pour rejoindre Kinian ?
A la, c’est que je m’y perds, moi avec toutes ses broussailles. »

Kinian était vraiment entouré de forêts et de campagnes. Il y avait de quoi se perdre pour tout étrangé. La réaction de l'Eulalie le fit rire. Dans sa tête, il comparait chaque personne à un animal qualifiant sa force/ éléa était la tigresse, Eliott le renard, Emilie le chat tendre... Eulalie il l'a voyait comme une petite souris perdue dans le monde de Kinian.

Il la regarda et lui dit:

"Tu viens de te trouver deux bons alliés à Kinian, Eulalie!!"

Il sourit et pensa qu'il fallait mieux ne pas la laisser seule dans les rues de Kinian la nuit. Une femme et qui plus ait étrangère, plusieurs roublards se seraient empressaient de la détrousser pour l'embouter. Voilà qui n'avait rien élégant! Il savait que beaucoup des roublars étaient dans les révoltés et qu'ils se tenaient tranquille en voyant Eliott ou Gabriel.

Ils prirent la route vers la demeure d'Emilie. Le froid de l'hiver et de la nuit se mêlaient pour gelé la belle, Gabriel frictionna Eulalie.

Si Eulalie c'était vu, elle se serait surement dit qu'elle ressemblait a quelque chose de fragile. Alors que Vif d'argent lui semblait plein d'assurance et de courage. Ainsi qu'une grande quantitée de gentillesse.
Il ria alors la laissant consternée. Puis lui jeta la regardapuis lui adressa quelques mots qui apprirent a Eulalie qu'il connaissait bien Emilie.

"Tu viens de te trouver deux bons alliés à Kinian, Eulalie!!"

Deux bons alliés faisaient-ils partie d'un groupe ? Sachant qu'il se désignait comme peu recommendable... Etait-il l'un de ses fameux révolutionnaire qui tentait d'aider le peuple? Elle rangea ses hypothèse dans un coin de son esprit.
Ils prirent alors un chemin qui m'ennait sans doute à la maison d'Emilie, tendis qu'elle s'efforçait de se réchauffer.
Leurs pas martelaient le sol froid de l'hivers.

[alors je continue ce poste dans le village pour parler avec Emilie en même temps !! ^^]