Une forêt mystérieuse

Edward chevauchait sur Etoile noire depuis plusieurs heures. Il s'arrêta alors dans une clairière, descendit de son cheval, et là, il s'écroula à terre. Il n'en pouvait plus, ses jambes ne le tenaient plus tellement la tristesse prenait possesion de son corps.
Il ressentait trop d'émotions, il en était conscient. Depuis son soit disant réveil, c'est comme s'il ressentait toutes les émotions qu'il n'a pas pu ressantir durant tout le temps, où, il dormait.
Maintenant, il se transformerait en fontaine dès que quelqu'un mourrait dans la rue, pensant que c'était sa faute. C'en était trop. Il fallait que cela cesse, il était un homme après tout. C'était lui qui devait consoler, pas pleurer.
Allongé dans l'herbe verte,il essaya de se calmer en observant la nature. Son cheval, une tache noire au loin, s'était aussi affalé, comme son maître sur le sol près d'une source.
Il n'était jamais venu dans cette forêt, qu'on disait souvent mystérieuse.
C'est vrai qu'il y faisait déjà sombre, mais les arbres étaient grands et on aurait cru que leur tronc s'élevaient vers le ciel sans s'arrêter. On ne voyait pas l'endroit où leur branches prenaient fin.

Et même si les arbres, en cette saison froide, avaient perdu leur feuillage, il ne voyait pas le ciel.

Et il sombra dans le sommeil.



Son rêve, sa tête ne s'en souvint pas. [mais moi comme je suis une petite vicieuse, et fière de l'être, je rentre dans sa tête, et je voix tout!! ohoh ! ]
Mais son coeur, lui, fut marqué par cette histoire si réelle, et si ... troublante...

Edward s'avançait dans la forêt, lorsqu'il se retourna, elle était bien là.
Son sourire sur ces lèvres foncées, le fit sourire à son tour.
Il ne sait pas quel âge ils avient tous les deux, mais il en était certain, ce n'était plus la petite fille qu'il avait connu. Non, c'était une femme qu'il avait devant les yeux, et cette femme, c'était Arwenn.

Elle s'avança lentement, jouant de ses hanches avec grâce.
Son visage s'était affiné, mais ses expressions étaient les mêmes, il arrivait quant même à la reconnaître.

Alors il sut. depuis tout ce temps, cétait elle, Arwenn qui occupait son coeur, et il chanta de sa voix à la fois grave et velouté, mais pour Arwenn, c'éait une voix d'or.

]

Je remarque quelque chose
Dans la façon dont tu me regardes
Il y a un sourire, quelque chose de vrai
Dans tes yeux

Quelle façon inattendue
En ce jour inattendu
Serait-ce l'endroit auquel j'appartiens ?
C'est toi que j'ai aimé tout ce temps...


Il n'y a plus de mystère,
tout s'éclaire à mes yeux
Tu es l'endroit que mon coeur a cherché pendant si longtemps
Et c'est toi que j'ai aimé tout ce temps


Il fut un temps où je courais me cacher
Apeurée à l'idée de montrer mon autre côté
Toute seule dans la nuit, sans toi

Mais maintenant,
je sais qui tu es vraiment
Et je sais que mon coeur t'appartient
Enfin, c'est l'endroit auquel j'appartiens
Et c'est toi que j'ai aimé tout ce temps.



Encore et encore, je ressens tout plein d'émotions
Ton amour, il coule dans mes veines
Et je suis remplie du plus tendre dévouement
Lorsque je regarde ton parfait visage

Elle sourit, s'approcha de lui et se serra contre son torse musclé, elle ouvrit alors sa bouche fine et montra sa belle voix de soprano, ils chantèrent ensemble :

Il n'y a plus de mystère,
tout s'éclaire à mes yeux
Tu es l'endroit que mon coeur a cherché pendant si longtemps
Et c'est toi que j'ai aimé
C'est toi que j'ai aimé
C'est toi que j'ai aimé tout ce temps...

Puis, à la fin des paroles, ils se regardèrent, une bonne minute, dans un silence seulement profanné par le chant des oiseaux de la forêt.

Alors ils s'embrassèrent. Tous deux, pour la première fois, ce baiser fut long, mais pour eux, il ne dura que 10 secondes, c'était comme s'ils donnaient leurs âmes et leurs coeurs à l'autre, ce baiser était un serment pour eux...
Edward se réveilla en sursaut,
il ne savait pas combien de temps il avait dormi, sûremnt longtemps mais il sentit quelqu'un penché sur lui, curieux.
il ne voyait pas encore assez bien, il distinguait à peine des yeux et une bouche ...

"Arwenn ?"

[BOU!!!!! c'est pas toi qui était sencé me répondre!!! c'était Eléa!!! !!!
bon c'est pas grave on va faire avec ...quoi que tu comprends bien que je préfère me réveiller avec le visage d'Eléa que le tien!!! ( tu fais peur sans ton masque!!! ) bien fait!!! ]


Ca y est. Edward avait enfin repris ses esprits, mais le visage qui le reggardait n'était PAS celui d'Arwenn, ni...une déchirure se fit à son coeur, celui d'Eléa.
C'était un homme qu'il ne connaissait pas, il ne l'avait jamais vu...
Sûrement un homme de la guerre, il avait une épée à sa ceinture.

Edward se releva péniblement, l'herbe était si agréable sur son dos, et son rêve était si ...doux.
Il portait toujours sa chemise pleine de sang, déchirée dans tous les coins, et oui, grâce à la Reine, il n'avait désormais plus aucune chemise convenable, tant pis.

Pourquoi cet inconnu l'avait-il réveillé ?

Quoi moi ?

Il était à présent debout, ils faisaient exactement la même taille, leur yeux, si différents soient ils, se croisèrent
Et ils restèrent longtemps, à tenir tête, les yeux de l'un dans ceux de l'autre.

Edward avait déjà vu ces yeux là, quelquepart, mais où ?
Et cette voix, elle lui disait aussi quelque chose.
Mais, bizarrement, il ne trouva pas. Cette voix, et ce regard connu, ne s'accordaient pas avec ce visage, inconnu.
Edward répéta, sur le même ton, grave mais chaleureux.

"Que me voulez vous ?"

Edward fronça les sourcils, cet homme l'intriguait.

[Don't Worry je vais squatter et le sang va couler XD]

[ Ca dépend de quel sang tu parles! ]

L' homme s'asseya en tailleur, cette façon si indienne, de s'assoir...
devant lui.
Son coeur se serra. si indienne...

Il voulait lui faire la conversation!
N'importe quoi, C'était un rêve ! ça se trouve, il dormait encore!
Mais oui c'était sûrement ça! Il délirait totalement.
Du coup, ne voulant pas rester debout seul [ au bout d'un moment, il en avait marre de baisser les yeux pour le regarder !!! ]
Il s'asseya lui aussi, mais plus souplement, lui qui était si habitué à le faire.
Et voilà, il est de nouveau dans l'herbe de Broceylian, rien n'a changé, à part cet inconnu, qui se disait connu!
Lui aussi il délirait!

" Je n'étais pas affalé, je dormais, rien de mal à dormir dans la forêt avec mon cheval à côté, non ?"

" C'est assez bizarre, vous aussi, vous me réveillez pour me faire... la conversation , en plein milieu d'une forêt et, en passant, je ne vous connais pas. Alors vous aussi, vous êtes inquiétant, aussi inquiétant que moi..."

Il n'osa pas parler d'Arwenn, ne se souvenant plus de son rêve, il ne sut pourquoi, il avait prononcé son prénom. C'était absurbe... Encore quelquechose qui ne tourne pas rond chez lUi...
Il pourrait en faire un roman s'il voulait... Au moins, s'il est vieux, un jour, il sera quoi faire...
Ecrire !!! Il soupira.

" Excusez moi d'avoir été agressif, je...je..."
Que dire, lui dire tout ? A cette inconnnu, connu ? Ou se taire, à nouveau, à jamais ?

" je ne suis pas dans mon etat normal, c'est tant si, beaucoup de choses se passent, j'ai l'impression d'être bouleversé, sans l'être... c'est bizarre..."

- Excusez moi, cela ne me regarde pas. Quand à ma connaissance, souvenez vous de la dernière bataille que vous avez donné au château d'Edoras. Vous n'avez eu l'occasion de voir que mes yeux... -

A ces paroles Edward ouvrit enfin les yeux... NOn, ce n'était pas possible, c'était le masque, le masque d'argent !

Et il s'était ouvert à lui!
Mais quel idiot ! Il était trop tard maintenant pour se rattrapper... beaucoup trop tard.

" Vous êtes le masque d'argent ?" dit-il d'une voix sûr et grave.
" Je me disais bien que vos yeux m'étaient connus"

3vous voulez vous jouer de moi ave Eléa, si c'est cela qui vous amuse et bien allez y! QU'EST-CE QUE VOUS ATTENDEZ TOUS LES DEUX POUR ME FAIRE SOUFFRIR ? POUR M'ARRACHER LE COEUR UN PEU PLUS CHAQUE SOIR , chaque nuit ?" Il avait crié, perdu son sang froid, il souffrait trop, il aurait du ne jamais se réveiller, et tout cela à cause ...d'elle.
Mais il l'aimait, déjà et tellement, et si elle voulait le tuer, il la laissera faire, c'est certain.

" Laissez moi mourir, tuez moi, vous qui n'attendez que cela, tuez moi et je reposerai enfin dans la paix, cette chose que je ne connais pas, je pourrai enfin la connaître..."

Il regardait le masque dans ses yeux, oui, c'était la fin...





Il se retourna, elle était là.

[ a toi Eléa^^]

Et elle chanta, d'une si belle voix, d'un doux soprano, une voix si pure...

Edward la dévisagea, que faisait-elle là elle aussi ? Ca y est maintenant, Broceylan était une vraie route de commerce, cette forêt si mystérieuse. Il leva la tête pour essayer d'apercevoir le ciel... Non toujours rien.
Le soleil devrait être couché à cette heure... Pourtant, c'était comme si la forêt les éclairer d'une douce lueur verte...
Si mystérieuse, comme si la forêt avait entendu le voeux le plus enfui en Edward, celui de revoir encore, ce doux visage, entendre cette voix si douce, être encore une fois, face à face, Eléa.

Il ne voyait même plus le masque d'argent, à qui, il vient de demander il y a une minute peut-être de le tuer...
Mais maintenant, il voyait enfin, sa raison de vivre, de se battre, son coeur, il était là, devant lui, et il était si beau.

La scène demerait dans le silence, personne n'osait parler, et la forêt était à l'écoute.

* Oh la la par tous les Dieux pourquoi moi? C'est tellement traître qu'il fasse si beau aujourd'hui et que je me retrouve dans une situation si sombre ! *

Mais qu'allait elle donc bien pouvoir faire?
Il y eut un long moment de silence gêné.
Puis elle se redressa, le visage rouge, aussi rouge qu'une cerise, tentant de réajuster sa robe, ses cheveux, emmêlés et recouverts d'herbe et de feuilles.
Essayer de reprendre contenance...

" Il y a beaucoup de monde qui fréquente cette forêt vous ne trouvez pas? " Tenta t'elle avec un pauvre sourire.

Bon, manifestement c'était raté.
Ni Eliott ni Edward n'avaient l'air particulièrement d'humeur à plaisanter ni à accepter qu'elle s'en tire avec de l'humour.
Elle soupira.

" Qu'est ce que vous faites ici vous deux? "

Son visage devint subitement inquiet.

" Vous ne comptiez pas recommencer votre duel rassurez moi? "

Non mais vraiment, pourquoi se mettait elle toujours dans des situations aussi délicates? Quelle malchance...

- Vous jouer de vous ? Je n'y peux rien si vous êtes attiré par elle ! -

Mais lui qui pouvait-il ?
Edward se rendit compte de sa position, entre les deux personnes, qu'était-il ? Rien.
Il n'existait pas. C'était tout juste si l'on pouvait le voir et l'entendre, si transparent, et si fragile, pourquoi cette partie de lui-même s'affirmait-elle toujours ? Pourquoi toujours la fragile et non la forte ?


Il se retourna vers Eléa, les mots sortirent difficilement de sa gorge, ils étaitent lourds :

"Nous... j'allais prendre congé"

Ce monde n'était pas le conte de fée tant décrit par ses parents, eux, ils avaient eu de la chance.(mise à part leur triste fin) .Edward réalisa alors que la vie n'est pas un conte de fée, ni le paradis, pour lui, la vie n'a pas d'autre sens que l'enfer.

Eléa et le masque formait un beau couple, lui, personne au destin tragique n'avait pas le droit au bonheur.
C'était ainsi.

[tu t'es déchainé la ]

Edward regarda le masque se dirger vers son cheval, sans bouger, sans parler...sans même respirer.
Il ne savait plus quoi faire, au lieu de se blesser lui-même pour que les autres attrapent le bonheur, son bonheur qui s'envole ... il blessait tout le monde, et pas seulement lui, comme avant.
C'était lui le personnage tragique ici, pourquoi Eléa et le masque souffrirait autant que lui ? Le monde était vraiment injuste...

Eléa maintenant qui était contre lui, pourquoi ? Pourquoi n'avait-il pas le droit d'aimer et d'être aimé en retour ?
Qu'avit-il fait pour mériter une vie aussi...morte ?

Eléa le regardait furieusement, elle avait finie sa complainte, c'était presque si elle fumait ...
Il sourit décidemment, il l'aimait beaucoup...

" Vous savez que votre voix est d'autant plus belle lorsque la colère vous mène ? Jamais je ne pense avoir eu de fausses impression sur vous, comme vous le dîtes, je sais qui vous êtes, et ce que vous faîtes, et même si vous me détestez maintenant, sûrement, moi, je vous détesterai jamais."
Il baissa les yeux, il en avait sûrement trop dit...
Il sentit pour la première fois, ses joues se chauffer à un point qu'on pourrait y cuire une oeuf !
Il ne pouvait plus la regarder en face, et il s'adressa donc à ses grosses bottes noires [ ] de soldats lorsqu'il annonça :
" Dîtes le si vous voulez que je parte, ne plus jamais me revoir parce que ma seule présence ici vous déplaît, dîtes le"

Son air était implorant, il ne voulait plus souffir, il voulait être fort.
Il leva alors la tête, la regarda en face.

*Trop tard* pensa Edward et à part dans ses rêves, elle la suivait partout.
Et encore il sourit, de son sourire en coin si craquant, il ne pouvait pas s'en empécher, il s'approcha sileucieusemnt d'elle et lentement ( il tient a sa vie !!^^), elle, hurlait toujours de rage ou de colère ou bref elle hurlait mais pas de bonheur ça c'était certain !
Comment pouvait-il s'empécher de l'aimer ? C'était ainsi, son destin et s'il devait vivre sans elle, il ne vivrait pas.

" Sans vouloir vous vexer, je crains fort qu'il soit trop tard et ... comment vous expliquer, je puis rien, j'ai bien peur qu'un dieu la haut c'est amusé à attacher mon coeur s'il existe au votre, c'est contre moi, d'ailleurs, il y a un mois, jamais je me serais lancer dans une nouvelle relation ainsi, à cause de... de ..."

Les mots ne passaient plus dans sa gorge. Ils étaient coincés, sans pouvoir entrer ni sortir...
Il essaya d'avaler, son coeur se serra, mais il put réouvrir la bouche :
" c'est le destin, et nous n'y pouvons rien"

A présent, il était tout près d'elle, hinalant sa douce haleine, pénétrant son regard dans ses yeux d'un noir profond.
Il y voyait beaucoup, une petite fille perdu dans ce monde de brute.
Lui perdu dans ce monde haine.
Il a besoin d'elle.
Elle le sait.


"Oublie ton chagrin, surtout ne crains rien.
Je prends en main ton destin.
Lorsque le danger te menacera,
Je serai là avec toi ...

Tu es si fort et si fragile.
Viens dans mes bras,
Je te ferai une île.
Ce lien qui nous lie ne cass'ra pas,
Ne pleure pas, je suis là ...

Car tu vis dans mon coeur,
Oui, tu vis dans mon coeur !
Dès maintenant,
Jusqu'à la nuit des temps.

Tu vis dans mon coeur,
Qu'importe leurs discours,
Tu vivras dans mon coeur,
Toujours...

Toujours..."

Edward la regarda partir, sans un geste, sans respirer
Il était mort.Elle l'avait tué, mort en lui même, sans coeur, sans aucun sentiment.
Se renfermer sur soi-même, était-ce la solution ?
Non, désormais il se battrait, pour son peuple pour sa vie, sans rien dans le coeur, ce coeur n'est plus.
Il se battrait pour que son coeur puisse rebattre normalement.
Il avait tellement honte à présent.Honte d'avoir osé montrer ses vraies sentiments, si vite ...
Lui qui était si timide normalement, un vrai coeur de pierre...
Mais elle lui avait ouvert les yeux sur ce monde, un monde de brute, il avait enfin trouvé alors son rôle, combattre ces brutes.
Son âme soeur, oui le destin pour une fois, c'était trompé.
Et il arrive encore à sourire.
Sourire devant ce panier, renversé, sacrifié, mort.
Comme son coeur...

"Pour moi c’est l’heure de foutre à la poubelle
Mon cœur en bois et pour de bon,
C’est le crane serti d’étincelles
Que je viens donner ma démission.

Allez les oiseaux de mon corps,
Fermez vos belles gueules à passion
Les accidents d’amour à la pelle
Ne m’ont pas toujours donné raison


Tais-toi mon cœur, je ne te reconnais pas
Tais-toi mon cœur, je ne te reconnais pas
Oh, tais-toi mon cœur, je ne te reconnais pas
Tais-toi mon cœur, je ne te reconnais pas
Moi j’connais seulement celui qui s’emballe

Je me fabrique un cœur de pierre
Pour devenir un grand garçon
Celui dont tu serais fier
Et pourrais tenir une maison

Mais un beau jour comme ça tu te lève
Avec une idée à la con
Fouiller souvenirs et les rêves
Dans la poubelle à passion

Tais-toi mon cœur, je ne te reconnais pas
Tais-toi mon cœur, je ne te reconnais pas
Oh, tais-toi mon cœur, je ne te reconnais pas
Tais-toi mon cœur, je ne te reconnais pas
Moi j’connais seulement celui qui s’emballe

J’ai des fissures
Dans mes chaussures
C’est à coup sûr
Mon cœur de pierre
Qui me fait des tremblements de terre
Tais-toi mon cœur

Tais-toi mon cœur, mon cœur c’est toi
Je croyais que tu t’étais tué et elle
Ne se souviendra pas de toi
D’ailleurs c’est pas la peine
De se briser comme ca
Tu vas encore lui faire peur
Oh tais-toi mon cœur, tais-toi mon cœur, je ne te reconnais pas
Tais-toi mon cœur, je ne te reconnais pas
Tais-toi mon cœur, je ne te reconnais pas
Ecoutes moi, je ne te reconnais pas
Tais-toi mon cœur, je ne te reconnais pas
Ecoutes moi, je ne te reconnais pas
Oh, tais-toi mon cœur, je ne te reconnais pas
Tais-toi mon cœur, je ne te reconnais pas
Oh, tais-toi mon cœur, je ne te reconnais pas
Je ne te reconnais pas"

Lorsqu'il partit enfin, le soleil s'était déjà levé, un sourire au lèvre, galopant dans la lumière d'un nouveau jour, le panier à la main.
Ce coeur,en main, sans vie, sans sentiment, sans rien.