En tôle

Entouré de deux gardes plutôt brutaux, gabriel fût mener au premier sous-sol de la prison. Les deux hommes le faisaient avancer en le brutalisant et en le jetèrent dans sa cellule. Lorsqu'il fermèrent la porte, ils ouvrirent la petite fenêtre de la porte pour lui parler.

"J'espère que c'est confortable!
Non pas du tout!
C'est fait exprès!"

Ils partirent en riant ce qui irrité encore plus Gabriel. Celui qu'on surnommait vif argent oiu l'aigle de Merlin était réduit à une prison. Qui avait dénoncer sa cachette pour que les gardes royaux aux armoiries de la reine mère puissent venir le chercher en pleine nuit le sortir de ses pensées.
Il avait tenter de se défendre mais seul contre une quizaine de gardes, même le meilleur escrimeur ne pouvait réussir. Il l'avait ferré et emmener de force. En descendant de sa cachette, un carosse attendait ou la reine mère lui dit :
"Je nettoirais la Terre de Galicia de Vermine dans ton genre. La Cour va manquer d'un bien bel élément masculin. Dommage !"

Le Carosse partit et un garde le frappa derrière la tête pour qu'il arrête de se débattre. Il avait apperçu sur les toits Eliott et recommença à se débattre. Il ne voulait pas que son meilleur ami le voit aussi faible mais il voulait également que les gardes restent concentrés sur lui car Eliott devait maintenir la révolte.

Maintenant qu'il était en prison, vif argent avait le temps de penser. Il cherchait un moyen de s'enfuir. On disait que son esprit était vif, i létait temps de le prouver.
Les jours passèrent et il essayait de creuser au dessus de la fenêtre de sa prison pour sortir. Dès que les gardes arrivaient, il se rassyait ni vu ni connu. Le temsp défilait et cela se voyait sur son visage car la barbe lui poussait. Il perdit espoir. Et ne creusa plus lorsqu'il découvrit à travers le mur un grillage plus grand pour le clotrer.

"Eh TOI! DEBOUT MISERABLE!!

REDIS CA POUR VOIR!

POUR VOIR QUOI???"

Le garde était entré dans la cellule de Gabriel et le frappa pour le réveiller. Lorsque Gabriel tenta de se rebeller, le garde appela deux autres et sortit une arme. Gabriel s'assagit. Il s'assit et on lui ferra les mains et le cou. Ils le firent lever en tirant fortement sur la chaîne. Il se sentait presque étrangler.

Il se leva et il faisait peine à voir. Il était habillé d'une tenue de prisonnier beige sale de boue et d'un tas d'autre chose, il avait la barbe longue jusqu'aux clavicules et les cheveux loin d'être soigner.

Ils avancèrent et le chef de la prison les attendait. Les gardes jetèrent gabriel à terre et le mirant à genoux

"Tu vas être une excellente monnaie d'échange contre la masque d'argent. Ne t'inquiète pas , tout est prévu pour qu'aucun de vous deux ne nous échappe. Votre pendaison étouffera la révolte."

Il ria à gorge déployer et Gabriel le regarda d'un air dégouté.

"Tais-toi ton Haleine me rend malade!"

Le chef se fâcha et d'un revers de la main il gifla Gabriel.

"C'est plus facile d'affronter un homme enchaîné qu'un homme libre. Lâche!!"

Il n'avait pas l'habitude de se taire devant l'adversaire. Il avait ce défaut qu'est l'éffronterie. Le chef fit un signe et on le releva et enchainèrent chacun de ses poignets à un poteaux et les gardes déchirèrent sa chemise. IL fut fouetter mais au grand amne du chef, Gabriel ne cria pas, ne versa pas une larme algré que les coups augmentaient de violence et de rapidité. Quand son dos fût en sang, ils le détachèrent et l'emenèrent.

Les gardes lui remirent une chemise sale qui brulaient sur ses plaies. Il monta dans un carosse avec des barreaux et partit pour Edoras.