[ Blanche De Reynaud ]

Nombre de messages : 14 Date d'inscription : 05/01/2008

• Nom : De Reynaud
• Prénom : Louison, de son nom breton ; mais l'esthétique de la Cour voulant un nom mois caractéristique des ses origines, on l'appela désormaits Blanche, il n'y a que sa nourrice pour l'appeler encore Louison.
• Âge : 17 ans
• Sexe : Féminin
• Titre de noblesse : Elle est la fille du plus grand seigneur de Bretagne, descendant d'un prince de sang royal, le Comte de Reynaud [Dédicace à Chocolat XD excusez moi ^^], possédant, à lui seul, la richesse de dix grands hommes de la Cour... Nul besoin de préciser que c'est une famille fort respectable et respectée...
• Statut social : Une princesse, en quelque sorte ^^ [Aaaah incorrigible romantique que je suis XD].
• Lieu d'habitation : Puisque la mode et les convenances veulent que les grands seigneurs habitent à Edoras pour montrer leur pouvoir, sa famille a déménagé et se trouve maintenant dans un grand manoir, près du château et des autres grands nobles ayant eu assez d'argent pour faire la même chose qu'eux (ils ne sont que bien peu).
• Marié ? Elle ne l'est pas encore mais son père ne l'oublie pas et espère lui choisir un bon parti... D'ailleurs, un marquis lui fait une cour assidue depuis son installation à Edoras.
• Proches : Il y a ses deux parents, encore qu'on ne puisse pas dire qu'elle en soit proche, puisqu'ils sont plutôt indifférents, la considérant surtout comme un bel objet ; sa mère, Maude, se contente de sourires, caresses rapides et gâteries, son père, Godeffroy, ne la voit que de temps à autre lorsqu'il n'est pas trop occupé, mais il est jalousement attaché à sa fille qu'il considère comme un trésor. Elle est en revanche très proche de sa nourrice qu'elle considère presque comme sa véritable mère. Elle est fille unique, elle n'a aucun véritable ami à la Cour, les filles sont jalouses de son apparence, son charme et sa grâce, les hommes attirés par son innocence et cette fraîche beauté, mais ne font aucun cas de ses désirs à elle...

**

• Histoire:

La petite Louison naquit au début du printemps, par une de ces journées magnifiques où le temps est doux, le soleil caresse votre visage de ses rayons chaud sans vous indisposer, et le vent balayait toute chaleur trop intense.
Un temps rare pour la Bretagne, habituellement un pays pluvieux, on ne pouvait alors qu'espérer un bel été, et la naissance de cet enfant mis tout le monde en joie, car il paraissait évident que c'était elle qui apportait cette douceur.
Les gens de ce pays étaient encore plus supersticieux qu'ailleurs dans Galicia, ce qui expliquait la joie lorsque l'enfant naquit.
Déjà, elle était adorable : deux grands yeux verts semblant perpétuellement étonnés, ravis, radieux, un doux sourire, elle ne criait ou pleurait que rarement, ne piquait pas de grosses colères.
Ses parents se réjouirent grandement de leur enfant, puis la confièrent à une nourrice, et l'oublièrent plus ou moins.

C'était alors une jeune femme, qui, sans être belle, avec un visage agréable.
A vrai dire, elle était un peu grosse, et ses origines paysannes se voyaient fort bien par ses traits lourds, ses mains grossières, et pourtant délicates dans ses gestes, et surtout son franc-parler et sa manière de s'exprimer en général.
Mais elle était d'une grande gentillesse, et avait toute les qualités de ce qu'on pouvait attendre d'une nourrice, aussi les De Raynaud la prirent ils à leur service sans hésitation.
Elle s'apellait Anne.

Même si ses parents ne venaient que rarement la voir, la prendre dans leurs bras, la petite Louison eut un début d'enfance très heureux, elle allait de découverte en découverte, le village éprouvait un amour sans bornes pour ce petit bout de choux qui leur semblait venir tout droit du soleil.

Des troubles commencèrent pourtant a perturber cette paisible région, ce cadre idyllique.
Il faut savoir que, si le comte de Reynaud était un homme juste, il n'en était pas moins sévère.
Il avait toute la Bretagne dans sa poigne, et quand la famine, à cause d'un mauvais hiver, se fit sentir, la révolte commença à gronder.
Louison n'avait pas le droit de sortir au-delà du jardin.
Durant presque quatre ans elle du rester confiné dans cet espace étroit.
Alors que, jusqu'à ses 6 ans, c'était une enfant robustes, d'une santé exemplaires, téméraire et aventureuse, aimant par-dessus tout la nature, elle fut enfermée, devint, de force, un animal de salon.
Et si elle appréciait un temps les belles robes, les coiffures, la danse, la musique, son esprit revenait sans cesse au-dehors, à jouer avec les animaux de la fermes, à monter dans les arbres.
Elle tomba vite malade.
En fait, elle n'arrivait plus à bouger sans que des vertiges la prennent.
De son enfermement, elle devint faible, mélancolique, ses joues et ses yeux étaient très pâles, et ces derniers paraissaient toujours absents, comme si elle rêvait à quelque chose.
trois ans ainsi...

A la fin, la nourrice n'y tint plus.
Et sur ses conseils, ses insistances, les parents finirent par l'envoyer, avec elle, chez un précepteur, en dehors de la ville, tout à la pointe, à l'extrême de la Bretagne, une propriété perdue dans la campagnes, au bord de la mer.
Louison était déjà heureuse... mais déchanta vite face au caractère de ce "précepteur".
Les parents, elle aussi, étaient persuadés qu'elle apprendrait à se conduire comme une parfaite jeune fille dans les milieux mondains etc....
Mais ce fut ses suivantes, enfin, ses collaboratrices qui se chargèrent de cette partie de son éducation.
Lui, il lui appris tout autre chose.
Ce n'était guère un maître patient, il s'énervait vite quand elle en comprenait pas ce qu'il voulait.
Il lui apprit l'escrime, l'équitation, un peu de musique, un peu d'art, mais rapidement, car il n'aimait pas trop s'attarder sur ce que trop de gens faisaient sans comprendre, et il ne voulait pas qu'à force, elle devienne l'un d'eux.
Il lui disait sans cesse de garder le coeur qu'elle avait maintenant, de garder cet étonnement, cet attachement si fort pour tout.
Elle ne comprenait pas tout très bien, mais acquiescait.
Il encouragea son impertinence, sauf avec lui, et s'arrangea pour que s'accentue son fort caractère.

Elle devint une exceptionnelle escrimeuse, son corps se déplaçait avec légèreté extraordinaire, ce qui fit d'elle, évidement, une bonne danseuse de ballet également, d'une souplesse et d'une rigueur incroyable dans ses pas.
Finalement, son précepteur en devint fier.
En quatre ans, il lui appris tant de choses !
Et elle, elle s'attacha tellement à lui !
Mais les meilleures choses ont une fin...

A l'aube de ses quatorze ans lui fut envoyée une lettre de ses parents.
Son instruction devait être complétée par une brève installation au pensionnat de Rejan's College, tout proche de la capitale.

" ...Vous n'imaginez pas, ma fille, écrivait sa mère, la chance qui vous ait offerte. Pouvoir côtoyer les plus grands de la Cour ! C'est tellement gratifiant de nos jours d'avoir une enfant ayant une éducation aussi complète ! De savant érudits y travaillent, mais ce ne seront pas vos affaire, vous apprendrez à être une parfaite dame de compagnie car nous avons l'ambition de vous faire côtoyer la Reine ! Qui sait, peut être vours prendra t'elle en amitié, et vous trouvera un excellent mari... "

La lettre se poursuivait ainsi sur beaucoup de phrases que Louison jugeait stupides, creuses.
Pas une note d'amour dans ce courrier.
Oui, elle était passée pour de bon au rang d'objet précieux et utile maintenant.
Ils faisaient part de leur crainte comme quoi le lieu où elle se trouvait, avec cet air marin et sauvage et ce soleil qui tapait dur risquait de gâcher son teint, ils la préféraient de loin dans un pensionnat où ils seraient beaucoup plus sûrs de la qualité du service disaient ils, de plus ils étaient très droits et très stricts là-bas...
Ils n'avaient manifestement pas retenu la leçon de sa maladie, qui aujourd'hui encore lui laisse des séquelles...
Et, en plus, sa nourrice ne partirait pas avec elle.
Elle pleura pendant quelques jours, mais que pouvait elle faire?

La vie au pensionnat fut bien ennuyeuse.
On eut vite fait de lui faire passer le goût des bêtises et des impatiences.
Avec de la difficulté, elle finit par réussir à se cantonner au rôle de bonne élève sage et muette, travailleuse, mais n'essayant pas de briller.
C'était tellement morne ! Il semblait que toute joie et toute vie la désertait un peu plus chaque jours.
Elle ne devait y sortir qu'à 16 ans.
A sa sortie, qu'elle ne fut pas sa surprise de voir ses parents eux-mêmes venir la chercher, lui disant qu'ils avaient finit par emmenager dans une jolie propriété à l'intérieur d'Edoras.
Il fallait être le plus près possible de la royauté pour se faire bien voir...
Louison accepta sagement tous ses changements, et c'est ainsi qu'elle dit adieu à sa Bretagne, ignorant si elle reverrait le lieu de son enfance un jour.
Une fois installés, les faus-semblants, les artifices pour mieux plaire apparurent.
Le vice des vertus...
On l'appela Blanche, car c'était tellement plus distingué, plus ravissant et Louison, quel nom ingrat, il sonnait trop différent des noms de la Cour !
Blanche, prénom donné à cause de son teint si clair et de sa pureté...
Puis la vie à la Cour s'installa, monotone.
Et des rubans, et des belles robes !
Mais de réceptions, de sorties, pour elle, point.
Heureusement, toujours avec l'aide de sa fidèle nourrice qui les avait évidement suivit, elle parvenait à sortir de temps à autre.
Mais, en générale, elle devait restée enfermée, dans sa chambre, un charmant petit rossignol en cage...

C'est au détour d'un jardin que la Reine la remarqua.
Apparement, elle fut éblouie de la grâce de cette jeune fille, de cette timidité charmante, de cette douceur.
En effet, la prédiction de ses parents se réalisa, elle plut à la Reine, mais au lieu de devenir sa dame de compagnie, elle venait simplement lui rendre des visites sur son ordre, et ou lui faire la lecture, ou parler avec elle... La distraire en somme.
Evidement, sa vie est tellement plus triste désormais ! Mais elle n'a pas abandonné sa passion pour la danse et l'escrime...
Il y a peu, elle entendit parler de troubles dans la capitale.
Elle vivait tellement cachée du monde qu'elle l'ignorait.
Un nom circulait sur toutes les lèvres, le Masque D'Argent... On racontait qu'il en avait fait une belle lui et ses révolutionnaires à la salle de bal !
Cette histoire charma grandement Blanche et la fit rêver.
Elle ne cessa plus de penser alors au peuple de Kinian, à ce soulevement, à cette aventure qui lui semblait tant excitante...

**

• Caractère:

Blanche est quelqu'un ayant une personnalité double, ou plutôt, elle est parvenue à se fabriquer un masque, un masque qui a force est devenu très concret et qui est peut être même son vrai visage.
Quand on la rencontre, elle paraît timide, un peu rêveuse, ou, du moins, en marge du monde, comme si son esprit était ailleurs et qu'elle pensait toujours à autre chose, elle paraît mélancolique aussi, toujours un peu triste, mais dans ses sourires.
Elle semble une petite chose fragile, elle parle peu, et d'une voix basse, de sa première rencontre avec vous se dégage toujours d'elle la douceur et la fragilité, c'est ce que l'on en retient.
Elle est toujours le nez plongé dans un roman, et vit dans un autre monde d'après les gens...

De manière générale, les gens ne pensent pas grand bien d'elle, juste quelqu'un de froid, hautain peut être mais surtout étrange, imperméable à tout et particulièrement aux sentiments.

Mais une fois en compagnie appréciée ou seule, elle est tout autre et se révèle vraiment.
C'est une jeune fille très vive, les yeux pétillants, ayant soif d'aventure, de découverte, de culture, elle voue une véritable passion à la lecture et dit souvent qu'elle oublierait de manger et dormir si sa chère nourrice ne le lui rappelait pas !
Bien sûr, sa maladie et l'enfermement à Rejan's College l'ont laissée un peu fragile, pourtant elle aime toujours autant la nature, le grand air, le soleil, qui a t'il de mieux que de courir dans un champs à l'herbe si chaude, de nager dans une eau douce et claire, de mordre à pleine lèvres dans un fruit bien mûre?
Elle a peut être quelque chose d'animal en elle, et c'est cette passion de vivre, de croquer sa vie, de vouloir tout savoir, tout apprendre, tout faire, tout connaître.
Elle est absolue dans ses désirs et ses rejets mais versatile, elle change aisément d'opinion, de décision, elle est plutôt instable, frivole, une grande insouciante.

En réalité, il faut avouer qu'en dehors d'elle-même, elle ne se soucie pas de grand chose, son statut d'enfant unique privilégiée en à fait une enfant gâtée, bien qu'elle ne soit pas exempte de qualités, mais comme personne ne s'est réellement donné la peine de corriger ses défauts...
De fait, elle a beaucoup de compassion, de générosité, de tolérance, mais il faudrait la laisser les exploiter pour voir qu'elle en possède !

Elle peut, sans le vouloir, se montrer cruelle : étant très moqueuse, elle ne se rend pas forcément compte qu'elle blesse les gens par ses rires et les rabaisse, heureusement que sa nurse, qui se charge en fait de pratiquement toute son éducation, est là pour lui rapeler les notions de bien et de mal.

Ce qu'elle aime par-dessus tout : les belles histoires, tout ce qui touche à quelque art jugée gracieux par elle comme la danse et l'escrime, et les baignades estivales. L'été est sa saison favorite, d'ailleurs.

Ses plus grands défauts sont son impatience, son insouciance et son caractère colérique et emporté.

**

Nombre de messages : 14 Date d'inscription : 05/01/2008

**

• Physique:

Ce qui est le plus charmant chez elle est son visage d'ange.
Ses yeux ne sont certes pas bleus comme on pourrait l'attendre chez cette poupée de porcelaine aux douces boucles blondes, mais d'un vert ravissant, changeant, aussi bien délavé que sombre selon l'humeur ou la saison, telle une fenêtre sur son âme ils sont purs, donnent une impression de transparence, et laissent un sentiment différent selon chaque individus. Certains ne peuvent soutenir ce regard si doux et si éveillé à la fois, d'autres s'y plongent, émerveillés...
Elle a une douce peau très pâle, une peau de lune, que le soleil ne parvient pas à transformer, et dont les joues rougissent adorablement quand elle est gênée, ou essoufflée après une longue course.
Ses cheveux lui tombent à la taille, merveilleusement bouclés lorsqu'ils sont bien coiffés mais jamais raides en tout cas, et hésitent entre le blond pur et quelques zones d'ombre.

De cette jeune fille émane une grâce certaine, mais aussi une grande maladresse, il n'y a qu'en danse et en escrime, ses deux disciplines de prédilection, où elle ne fait pas de faux pas car elle ne se concentre pas sur le fait de ne pas tomber mais de réussir.
Mais dans la vie, quelle maladresse !
Elle fait tomber tasses, couverts, miroirs même, elle s'attire tous les ennuis, toutes les blessures, une météorite tomberait sur la Terre, ce serait pour elle !
Sa pauvre nourrice se fait bien du mauvais sang pour sa protégée, mais la jeune fille ne fait que rire de cette malchance.

Elle n'est guère grande, mais fine en revanche, de jolies formes, un peu effacées peut être par la sveltesse du corps, on dirait une nymphe des eaux ou des bois, une sirène même à la voir dans l'eau, d'autant plus qu'elle aime à se parer de fleurs, de coquillages, d'éléments naturels...
Oui elle donne souvent l'impression d'une étrange créature venue d'un autre monde avec ses grands yeux rêveurs...

Nombre de messages : 14 Date d'inscription : 05/01/2008

Ouaisssssssssssssssssssssss !!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Ais Tout Finiiiiiii

bienvenue chère Blanche!!
J'aurais été intéressé si j'avais reçu mon titre de noblesse mais mon père est pas encore cané lol!!!

*regarde Lua du coin de l'oeil en attente d'une réaction jalouse lol!!* Je suis un bon parti mdr

Clap Clap Clap
^^
Le problème c'est qu'il faut que je lise tout maintenant!

[ Blanche De Reynaud ] 521392

t'avais qu'à être là au début lol!! Bon courage ma chère fausse noble lol!!!

Chut les enfants restez sages ^^
Bon j'vais peut être verrouiller j'ai oublié ce détail XD