[ Eléa Foudre ]

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• Nom : Foudre, un nom qu'elle s'est choisie elle-même après avoir été recueillie par Ely, tout comme son prénom d'ailleurs. Son véritable nom est Luccini.

• Prénom : Eléa, son nom italien était Isabella.

• Âge : 17 ans, mais elle n'en est pas sûre, elle a oublié sa date de naissance. On fête son anniversaire durant le mois de décembre, car elle adore l'hiver et c'est là selon elle que la lune est la plus belle.

• Sexe : Féminin (cette fois oui elle a les cheveux longs mais c'est une fille XD)

• Titre de noblesse : Aucun, en Italia elle apartenait à une famille riche mais sans titre.

• Statut social : Fille du peuple (et fièèèèère de l'être :P ) Elle appartient à la ligue des révolutionaires et si elle ne fait rien d'actif pour le moment, c'est seulement parce qu'Ely l'en empêche.

• Lieu d'habitation : Elle habite dans Kinian, dans une petite maison-hutte à l'écart du centre ville et de l'agitation, à l'orée des bois de Broceylan, à la limite de la frontière de la ville en fait, mais on la trouve rarement chez elle.

• Marié ? Dieux merci non ! :roll: Elle aurait du mal à le supporter ^^ Mais a une relation privilégiée avec Eliott.

• Proches : Elle ignore ce que sont devenus ses parents et sa petite soeur, mais elle s'est fait une autre famille dans le village. Il y a Eliott, bien sûr, la plupart des aubergistes, des enfants, des femmes... Ils l'apprécient pour sa bonté naturelle et son caractère flamboyant, et elle les aime pour la chaleur qu'ils lui procurent.
Elle est très proche d'une fillette se nommant Olivia qui est pour elle une petite soeur, et d'Emilie, sa meilleure amie.

• Codes : J'aime bien XD ça m'fait rire ^^ :lol!:

• Signe particulier : Une marque en forme de grand C à l'arrière de son épaule. Elle a été attrapée par des gardes alors qu'elle volait sa nourriture, n'ayant pas été assez rapide car affaiblie par la maladie.
C'est le C des condamnés, et bien qu'elle se soit échappée, cette marque restera à jamais... Si on la retrouve, elle est soit morte, soit emprisonnée.

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• Histoire:

La petite Isabella naquit dans une province d'Italia, dans l'heure et prospère famille des Luccini.
Dès sa naissance, on s'extasia sur ces yeux d'un noir intense, ces yeux déjà profonds malgré son jeune âge et qui foudroyaient de colère tout ceux qui avaient le malheur de l'agacer.
Et puis elle avait un prodigieux organe pour hurler à pleins poumons sa mauvaise humeur qui étonna (et horrifia ^^) bien des gens !
Elle grandit bercée par l'amour et la musique italienne et de Spain que lui jouait son père pour l'aider à s'endormir.
Bien sûr, les colères, les siennes, n'étaient pas absentes ! Elle piquait de véritables crises de furies quand on la contrariait !
Sa mère voulu même l'appeler Caprice, mais ils optèrent pour Isabella, trouvant que c'était un nom qui sayait à merveille à cette ange aux cheveux noirs et caractère de feu.
Elle passa ses quatre ans, et commença alors l'enfance dans les rues, prémice de la vie qu'elle allait avoir plus tard en Galicia.
Très vite, sa beauté sombre et son sale caractère l'imposèrent comme la petite princesse et nombre l'aimèrent, la haïssèrent mais la respectèrent.
C'était étrange de voir ce petit bout diriger sa troupe avec le panache d'une reine.

Quand elle eut 5 ans, sa petite soeur naquit.
A ce moment des troubles apparurent dans le pays... on murmurait que la guerre se préparait... et que le plus puissant pays d'Hivernal convoitait Italia.
La peur s'installait dans les rues, puis les restrictions quand la guerre commença.
Bella, comme on la surnommait, n'eut plus le droit de sortir.
Elle ne pouvait même pas jouer avec cette belle neige qui envahissait les rues...
Et la faim commença à lui tenailler le ventre.
Alors, dans sa chambre avec sa petite soeur, elles se blotissaient sous les couvertures pour se réchauffer, et Bella racontait et chantait.
Elle chantait ses histoires, elle racontait ses chants ; elle racontait des contes, elle chantait la joie au milieu de la mort.
Ses parents, l'oreille contre la porte, l'écoutaient souvent en pleurant, et sa petite soeur restait sage, ses yeux bleus émerveillés fixés dans les prunelles noires de sa grande soeur qui lui semblait surnaturelle alors.

Puis ce fut de pire en pire.
Sa mère tomba gravement malade.
Son père dut partir au front.
Eléa avait 7 ans.
C'était elle qui se chargeait de la maison, d'aller chercher leur nourriture....
Elle dut voler parfois, mais ne le dit pas à sa mère pour ne pas la faire pleurer de voir ce que devenait sa si jolie petite fille.
Un jour qu'elle rentrait avec, pour une fois, un lourd panier dans les mains, elle marchait derrière un homme, et avait du mal à mettre un pied devant l'autre.
Au bout d'un moment, l'homme se mit à ralentir, il était tout devant elle...
Puis il tomba.
Inquiète, Bella posa son panier, se dirigea vers l'homme...
Le vent du nord souleva son chapeau, révelant ses yeux vitreux.
Il était mort.
Elle poussa un cri d'horreur, ramassa son panier et tenta de courir.
Les larmes avaient beau couler sur ses joues, la peur lui crisper le ventre, l'horreur blêmir son visage, elle n'avançait pas bien vite.
Pourtant elle s'y forçait, pensant que quand l'homme était mort, il marchait à peine moins vite qu'elle.

A la maison, c'était la sécurité, mais aussi la maladie.
Eléa se privait de façon discrète pour que sa soeur puisse manger à sa faim, et surtout sa mère.
Si leur mère mourrait, que deviendraient elles?
Parfois, sa mère l'appelait dans sa chambre, alors elle regardait son teint cadavérique, ses yeux cireux, ses joues creuses, ses bras fluets et sans force, ses yeux sans vie.
Sa mère lui souriait, et lui demandait d'une voix faible :

" Chante Bella "

Et la petite chantait, les yeux fixés sur la fenêtre de la chambre.
Et parfois un oiseau traversait le ciel bleu, fugace comme la larme qui traversait la joue blanche de la mère.

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Et un jour, tout changea.
Un homme vint à leur maison, c'était sa mère qui l'avait appelée.
Elle lui parla longuement, enfermée dans la chambre, et Eléa avait beau tendre l'oreille, regarder par la haute lucarne, montée sur un tabouret qu'assurait sa soeur, elle ne comprit rien.
L'homme sortit ensuite, sans un regard, sans un sourire.
Leur mère les fit venir près d'elle, et leur dit qu'elles devaient partir avec ce monsieur, il était très gentil et les aiderait à aller dans un autre pays, ce sera amusant vous verrez ! De belles vacances! Et puis papa et maman vous rejoindrons bientôt, ne craignez rien mes cheries, vous allez être hébergées chez une amie en nous attendant, ne craignez rien...
Sa petite soeur, Noemia, versa des larmes, mais acquiesca.
Bella resta de marbre.
Elle savait que sa mère mentait.
Elle les envoyait chez cette femme... pour ne plus revenir.
Elle ne les reverrait jamais.

L'homme les fit traverser la frontière à la faveur de la nuit.
Noemia pleurnichait doucement, mais seule Bella était prise d'une tristesse violente et d'un déchirement effarant.
Elle se retourna dans la nuit noire, et regarda une dernière fois sa patrie éclairée par la pleine lune.
Puis elle ferma les yeux et se retourna.
Dans son coeur, une porte se referma.
Un peu de sa douceur s'envola.

Des jours et des jours de marche, de galopades quand ils pouvaient avoir des chevaux, et l'homme ne parlait jamais plus que de nécessaire, elles savaient seulement son nom, Enaël, et devaient se taire, se cacher, rester silencieuses...
Cet environnement de terreur épuisait Noemia, et Bella restait forte pour deux, la portant sur son dos pendant tout le chemin, la fillette de 8 ans portant la petite de tout juste 4 ans...
Mais le pire restait à venir.
Elles pensaient qu'elles allaient pouvoir être bientôt en sécurité... tremblantes, terrifiées, terrassées de chagrin, mais dans un lieux sûr et douillet.
Elles se trompaient.

A l'approche de la capitale, de nuit, des hommes les accostèrent.
Apparement, leur protecteur les connaissait.
Il dit à Bella que pour pouvoir entrer dans la capitale, il allait falloir qu'elles se séparent, sinon les gardes auraient des soupçons.
L'enfant rechigna un moment, refusant de se séparer de sa soeur, mais finit par accepter, car c'était le seul moyen.
Elle partit donc devant, et quelques heures après Bella et Enaël partaient.

Ils s'arrêtèrent un bref instant dans une auberge se restaurer, et reprirent la route.
Au bout d'un moment, Eléa demanda, en italien, la seule langue qu'elle savait parler : " Quand est ce que je vais revoir Noemia? "
L'homme, qui jusque là avait parfaitement compris la langue des petites filles et leur répondait pareillement, fit la sourde oreille.
Bella commença à s'énerver.
Ils étaient dans la rue à présent, et les gens regardaient d'un mauvais oeil le charabia de la petite qui tempêtait et faisait un foin de tout les diables.
A bout de nerfs, l'homme lui lança, séchement : "tu vas la trouver dans cette ruelle, elle t'attend ! "
En temps normal, Bella aurait soupçonné un piège, mais elle ne pensait qu'à retrouver Noemia.
Elle courut donc, ne cessant de l'appeler...
Une main la saisit à la gorge, une autre se plaqua sur sa bouche, on l'amena dans l'obscurité.
Des hommes parlèrent, en galicien, et elle ne comprit pas.
Terrifiée, elle attendit...
Enaël arriva.
Soulagée, elle ferma un instant les yeux, il allait l'aider, il allait l'aider et ils partiraient retrouver sa soeur bien sûr...
Mais il échangea des poignées de main avec ses ravisseurs, tout en riant de manière grotesque.
Son coeur s'arrêta.
Il se pencha vers elle avec un profond sourire.
" Pauvre petite idiote, jamais tu ne reverras ta soeur, pour toi et le reste de ceux qui la connaissaient, elle est morte à présent, et ça va bientôt être ton tour. "
Il lui caressa la joue avec un regard sadique, les autres l'avaient lâchée, lui la tenait par le menton...

Avec une fulgurante rapidité, elle baissa la tête et lui mordit la main, avec tant de force qu'elle sentit quelque chose craquer sous ses dents.
Trop stupéfaits pour réagir, les autres la laissèrent filer.
Elle se retrouva dans la rue, courant à toutes jambes.
ce n'était pas son pays, mais la rue était son domaine ; elle parvint à les filer.
Et là, ce fut l'enfer.

" S'il vous plaît, ma soeur, vous avez vu ma soeur? "
" Monsieur, s'il vous plaît, s'il vous plaît... "
" Noemia, Noemia ! "

Mais les gens ne comprenaient rien à sa langue, préféraient s'éloigner de la détresse de cette enfant perdue qui ne cherchait rien qu'un peu d'aide, ce que personne n'était prêt à lui offrir.
Personne sauf...

Dans sa course éperdue, elle se cogna à quelqu'un.
Elle leva les yeux.
Un enfant, très beau, plus âgé qu'elle, le regard vert et moqueur, et pour le moment agacé.
Mais, elle ne sut pourquoi, elle l'enlaça, très fort, murmura précipitamment :

" S'il te plaît, s'il te plaît aide moi s'il te plaît... "

Les larmes roulaient, roulaient sur ses joues, elle s'étouffait de sanglots, sa petite poitrine se soulevant à un rythme effréné, ses poings agrippant la chemise de celui qui s'appelait Eliott.

" Je t'en prie... Aide moi ! "

Et il l'aida.
Plus jamais elle ne fit confiance aux hommes.
Plus jamais elle ne revit sa soeur.
Jamais elle ne sut à quel destin funeste elle avait échappé.
Car ces hommes étaient des marchands, travaillant pour des maisons closes de grandes villes... et recrutant des jeunes filles telles qu'elles dès leur plus jeune âge pour le bon plaisir des hommes.
Elle ne le sut jamais.

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" Ely !!! Regarde, regarde le coquillage ! "

Les journées se déroulaient, heureuses.
Enfin, heureuses était un bien grand mot, il y avait la famine, la guerre, la pauvreté...
Mais son coeur était chaud de nouveau.
Elle avait une autre famille.
Elle avait finit par apprendre le galicien, grâce à Eliott encore, et, à leur grand étonnement, elle s'était révélée la plus douée de la bande pour voler et charmer les gens... après tout, c'était elle la fille, la plus légère, et rusée...
D'ailleurs, ils se rendirent vite compte qu'elle était une fille !
A douze ans, ses seins commencèrent à pousser, son corps se transformait déjà.
Elle regarda ses évolution avec étonnement, mais ne changea pas sa manière masculine de s'habiller.
Jusqu'à ce qu'un jour, alors qu'elle portait une sorte de short - les vêtements étaient rares - et une chemise, ils se battirent contre une autre bande des rues.
C'était fréquent avec eux.
En revanant de la bataille, aucun n'était indemme.
Eléa, puisque c'était le nom qu'elle avait choisit de prendre, souhaitant oublier sa vie d'avant, avait les boutons de sa chemise qui avaient sauté.
Elle ne remarqua pas les regards de ses compagnons.
Le soir Ely vint à sa chambre, lui tendit une robe avec fermeté, disant d'un air sombre : "dorénavant tu porteras ça"
Elle n'osa pas le contredire.

Un jour, on entendit parler de la révolte.
Ca faisait longtemps qu'eux même l'envisageait.
Ils ne pouvaient plus rester sans rien faire.
Ils ne pouvaient plus voir ce peuple, à l'agonie sans réagir.
Pour Eléa, ce peuple était le sien à présent.
Et elle se battrait pour lui, jusqu'à la mort et au-delà.
Ely devint le chef des révolutionnaires, il était le seul à savoir rassembler les gens, à leur redonner espoir.
Les yeux d'Eléa brillaient quand elle le voyait ainsi.
Et un jour...

Elle devait avoir quinze ans.
Ca faisait un moment qu'ils jouaient au chat et à la souris, une séduction subtile s'était installée entre eux, et, s'ils avaient conscience que quelque chose avait changé, ils ne savaient pas encore en quoi...
Mais ce soir là, leur relation changea pour de bon.
C'était une nuit étoilée, une nuit sans lune, et ni l'un, ni l'autre ne comprit vraiment ce qui arriva...
Mais depuis ce jour, toutes leurs nuits ils les passaient ensemble dès qu'ils le pouvaient.
Puis Ely partit se battre.
Eléa dut rester derrière.
Pendant qu'il risquait sa vie, elle se mourrait dans la capitale, ne sachant s'il était blessé, mort...
Mais, chaque fois, il revenait.
Il savait que la vie était dure pour elle aussi, mais pas à quel point...
Mais, de cela, nous ne parlerons pas pour l'instant.
Mieux vaut laisser dormir les sombres choses, et n'en garder que les meilleures.
C'est cela chez elle, elle veut allez de l'avant.
Sans penser au passé, ni aux conséquences...
Et maintenant?

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• Caractère :

Dents de tigre et griffe de chat, attention les gars, voilà Eléa !
Jamais être humain n'eut un caractère aussi impossible que cette jeune femme...
Elle est incroyablement têtue, impulsive, insolente, incapable de se taire ou de s'écraser, vous n'imaginez pas les coups de fouet qu'elle a put recevoir de la part d'un noble qu'elle avait humilié alors qu'il marchait dans Kinian...
Mais toujours, elle recommançait.
La douleur physique n'est presque rien pour elle, elle en a tellement l'habitude !
Les gars du village s'amuse de ce feu follet souriant et moqueur, ayant perdu son insouciance mais pas sa fraîcheur.
Plus d'un, séduit par ce caractère indomptable et sa beauté farouche ont bien tenté leur chance...
Mais avec Eléa, il faut plus que de belles paroles et un beau corps pour la séduire !
Il faut être Eliott.

Ah, Eliott, Eliott... Le Masque D'Argent, sa seule faiblesse, la seule douceur dans ce caractère de roc.
Il apparaît, et elle est à ses pieds, et elle n'a plus aucune volonté que celle d'être avec lui.
C'est presque plus fort que l'amour, c'est quasiment une drogue, elle a un besoin physique de sa présence, de sa voix....
Et ça la tue qu'il n'appartienne pas qu'à elle et qu'elle n'ait pas autant d'amour en retour.
Elle est jalouse au-delà du possible, et elle est prête à faire tout ce qu'il lui dit...
Oh oui, elle se trouve stupide vous savez, ne vous en faites pas, elle sait qu'elle fait n'importe quoi, qu'elle ne devrait pas s'accrocher désespérement aux miettes d'amour qu'il lui donne... mais c'est plus fort qu'elle.
Le seul en qui elle a une confiance et un dévouement absolu, car avec ce qui lui est arrivé, elle se méfie de tous...

Bien sûr, c'est donc un caractère fort, elle a de la volonté à revendre si l'on excepte sa faiblesse, ne manque pas de courage, mais aussi de coeur : elle est d'une grande sensibilité, et impossible pour elle de cacher ses émotions, sa sort, point final, elle ne tente pas de les retenir de peur d'exploser sous leur puissance.
Car oui, quand elle aime, c'est avec passion, et quand elle déteste, c'est avec fureur et haine.
Ses sentiments sont une girouette, sous une parole elle peut haïe et sous une autre être gonflée de gratitude, mais elle, elle ne change ni d'avis, ni de décision.

Elle est le feu, elle est la vie, elle n'est qu'haine et passion, elle n'est que sentiment poussé à l'extrème.
Elle voue pourtant une véritable passion à la lune, astre si éloigné d'elle qu'il en devient probablement attirant....

Elle est forte et faible à la fois en fait, personne ne peut réellement donner de limite à son caractère, à sa fougue, mais chacun sait à quoi s'en tenir... et vous aussi maintenant !

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•Physique :

Elle a évidement hérité de physique italien de ses parents :
Une fine bouche souvent en moue moqueuse ou boudeuse, et naturellement hautaine ; un long nez, droit et fier, donnant force et caractère à son visage fin ; de grands yeux noirs en amande, des yeux profonds, ardents, brûlants, calcinant dans des feux de désir ou de colère, ils sont à eux seuls une véritable tempête d'émotion ; de longs cheveux noirs épais, indisciplinés, emmêlés, doux et retombant en cascade le long de son dos, une vraie crinière pour une véritable lionne ; enfin, une peau brune, unie, gentiment chauffée par le soleil.
Alors, évidement, elle ne peut cacher ses origines, pourtant, cela ne la met pas à l'écart, bien au contraire ! C'est l'atout premier de sa séduction, sa beauté étrangère...

Elle est de taille plutôt petite, à de belles formes, généreuses, mais sa taille et ses membres restent fins et déliés - voilà encore un attrait qui attire pas mal de monde... même nobles ! - et son apparence laisse une impression élancée, svelte.
Elle porte toujours des robes grises au large jupon, serrées à la taille et larges dans les manches, lui découvrant les épaules ; elle les arrange à l'aide de fichus, de broderies quand elle peut, rien que des petites choses mais qui donnent un éclat à sa tenue de fille du peuple.
Elle est toujours pieds nus car ses uniques souliers sont réservés aux grandes occasions, et il n'est pas rare de la voir avec un foulard ou autre fichu dans ses cheveux sombres.

Elle laisse une impression de vivacité, de fraîcheur, mais surtout d'étrangeté, de par ses longs cheveux qui font penser aux flammes de l'Enfer dans le fort vent de Kinian et surtout par ses yeux noirs, terribles.

Enfiiiin j'ai tout fini XD j'en peux plus -_-

appalaudissement Bravo

* Clap clap *

Ma topiiine ! Vient faire un bisou à Ely

Nombre de messages : 78 Date d'inscription : 05/01/2008

Manon ...

... T'es maso ...

bah c'est pas rôle si Eliott est déjà pris!! snif lol Manon je me demande comment tu va gérer autant de perso

Mélodie de Montardent a écrit:: bah c'est pas rôle si Eliott est déjà pris!! snif lol

Manon je me demande comment tu va gérer autant de perso

Il n'est pas pris belle damoiselle 8)
Il a juste une trèèèès grande amie avec qui il aime passer ses nuits :P

*s'en va déprimée dans son coin*

Tu veux un ti' post pour te consoler Mélodie ?

Nombre de messages : 78 Date d'inscription : 05/01/2008

xD

:lol!: <<

AH NON !
Sinon j'te mords XD
Stoooop floood ** en mode chef ** où j'me fâche !!! GGGGrrr

Ne vous battez pas y'a d'la place pour tout le monde :rabbit:
Je verrouille !